Ce que la presse en dit :

BRUXELLES 43

 » … Comme dans les précédents albums, les auteurs se sont documentés avec beaucoup de sérieux sur le contexte historique, ce qui a le mérite d’asseoir la crédibilité du scénario et son intensité. Le graphisme s’inscrit dans la tradition de la ligne claire avec un dessin académique particulièrement réaliste. » J.M. Baclet – PlanèteBD

 » … Le trait de Baudouin Deville, inspiré par la ligne claire, se prête parfaitement au récit et à l’époque à laquelle il se déroule… Il le fait avec brio, tant dans la lisibilité de son dessin que dans la reconstitution des décors bruxellois, en glissant habilement, quand c’est nécessaire, le détail qui fait vrai et renforce l’immersion du lecteur dans le contexte. » Pierre Burssens – Auracan

 » …Un scénario qui fonctionne parfaitement, action et grande histoire mêlées sur un dessin qui reconstitue à merveille ces temps douloureux en détails. » Jean-Laurent Truc – Ligne Claire

 » … Baudouin Deville laisse des planches absolument magnifiques,  fidèles aux lieux dans leurs moindres détails. Le trait et vif et souple dans un esprit  années 40/50, avec une une ligne claire parfaite. » Jean-Claude Attali – Bulle d’Encre

 » … Baudouin Deville navigue à contre-courant de la profusion des graphismes ambiants. Il retourne aux sources du franco-belge et expose une ligne claire délicate, proche de celle de Floc’h. » Yves Machado – BDGest

 » … Dans ce récit historique dense, le trait Ligne claire de Baudouin Deville évoque magnifiquement l’atmosphère, les décors et les lieux emblématiques de l’époque. Éclairés par les couleurs de Bérengère Marquebreucq, le dessinateur réussit en particulier les visages de ses personnages, traduisant ainsi les sentiments et les angoisses ressenties au lecteur. » Charles-Louis Detournay – ActuaBD

LEOPOLDVILLE 60

 » … Le dessin ligne claire de Baudouin Deville s’inscrit dans la lignée des Jacques Martin, Jean-Claude Floc’h ou encore Ted Benoit. C’est un réel plaisir de plonger dans cette ambiance des années 60 avec une mode élégante ou des voitures aux lignes majestueuses. » J.M. Baclet – PlanèteBD

 » … Le tout est enluminé par le superbe trait ligne claire de Baudouin Deville. Avec les couleurs de Berengère Marquebreucq, le dessinateur réussit le difficile challenge de passer de l’évocation de Bruxelles à celle de Léopoldville. » Charles-Louis Detournay – ActuaBD

 » … La ligne claire renforce ce classicisme tintinophile de la nostalgie de la Belgique de papa. Le dessin est d’une grande rigueur et clarté contribue au plaisir de la lecture. Il en va de même pour le scénario particulièrement travaillé et assez complexe, mais qui ne laisse pas le lecteur sur le bord du terrain. » Phylac – Génération BD

 » … Son magnifique trait ligne claire rend subtilement hommage à cette école belge, héritière des grands comme Edgar P. Jacobs, complètement au service d’une narration délicieusement vintage et très efficace ! C’est beau et très documenté, avec un soucis porté aux détails, à l’exactitude des lieux qui fait plaisir à voir ! » Fredgri – Scen(e)ario

 » … Et le dessin de Baudouin Deville a encore pris de la bouteille, bien renseigné, jouant les greeters d’un autre temps (au zoo, notamment, où les singes fument des cigarettes) mais n’ayant pas les pieds bétonnés dans la documentation. » Alexis Seny – Branchesculture

 » … Côté dessin, Baudouin Deville nous régale à nouveau de belles illustrations dans ce même style ligne claire qui nous avait fait apprécier Sourire 58. Une lecture très agréable grâce à l’excellente mise en couleurs de Bérengère Marquebreucq. » SDJuan – Creabulles

SOURIRE 58

 » … Quoi qu’il en soit, qu’on ne s’y trompe pas, « Sourire 58″ est un joyeux précipité de ‘belgitude’. Et comme l’Atomium, il forme un noyau brillant, et parfaitement équilibré, qui se déguste comme une BD d’antan. » Olivier Delcroix – Le Figaro

 » … On nous offre ici un thriller d’espionnage très efficacement rythmé, avec une belle héroïne qui, bien que commençant assez naïvement, prend progressivement du poil de la bête pour finalement arriver à tirer très adroitement son épingle du jeu ! » Fredgri – Scen(e)ario

 » … Mais c’est bien sûr l’ambiance très particulière de cette expo et de cette époque qui fait tout le charme de ce premier album publié par une nouvelle maison d’édition lancée par l’ex-attaché de presse Nicolas Anspach. Une atmosphère bien restituée dans un style ligne clair rétro par le dessinateur liégeois Baudoin Deville. » Daniel Muraz – Le Courrier Picard

 » … Basé sur une solide documentation, le récit fictionnel de Patrick Weber est mis en images avec virtuosité par un Baudouin Deville très inspiré dont le style ligne-claire fait merveille pour immerger le lecteur dans l’époque. » Le Korrigan – Sdimag

 » … Baudouin Deville réalise un bel album, qui, grâce à un grand sens du détail et une solide documentation, nous plonge dans le Bruxelles des années 50 avec un grand réalisme. La place De Brouckère, la « Belgique joyeuse », les différents pavillons de l’exposition… le dessin plaira aux amateurs d’une ligne claire et précise. » Vincent Penninckx – Le Suricate

 » …Favorablement accueilli par les édinautes, « Sourire 58 » sort enfin dans toutes les bonnes librairies deux après, et c’est une réussite ! » Gilles Ratier – BDZoom